Il y a déjà un mois que je suis revenue de France.
Mais, j'avais dit que j'allais en parler un peu plus, mais je ne sais plus ce que je voulais vraiment partager. Ce sont des impressions, des fenêtres tachées de gouttes de pluie, autant de larmes, faut-il donc aimer cela. J'ai eu du temps qu'on dit maussade. Je l'apprivoisai, comme le gris de sa couverte a su séduire mon spleen! Il pleuvait souvent, il ventait, tout voulait me nettoyer l'âme. Je me refusais à ce plaisir quand même assez longtemps, mais c'est surtout en revenant ici, et avec mon écharpe de cumulus lourds dans la valise, que je réalisai qu'il me poursuivait depuis un moment déjà. A Cuba, des pluies et des vents, à Moustiers, des orages si liquides! Et maintenant, le temps se maintient à cette altitude : basse.
J'ai pris la décision de travailler plus lentement. Moins pour mieux. Je ne comprends pas où mes recherches me mènent encore; je bizoune des images glanées ici et là, j'ai l'impression de devoir résoudre une énigme avec une série d'images. D'avoir à raconter une histoire avec un méli-mélo. Je vous mets quelques exemples.
Je donnerai à quiconque identifie les personnages sur ces images le premier un beau bol. Hum. Reprenons. J'offrirai au premier quiconque qui identifie les personnages un beau bol. Voilà. Cent fois sur le métier remettez votre ouvrage, les enfants!
Et puis il y a aussi cela:
Po
Pourtant quand je les affiche maintenant, tout me semble clair.
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